Le ciel de la chapelle Sixtine de Léon Morell

Une gigantesque fresque.

Printemps 1598, Aurelio quitte la ferme familiale bien décidé à devenir sculpteur.

Son rêve d’enfant, apprendre auprès du meilleur d’entre eux : maestro Michel-Ange.

À peine arrivé à Rome, il est saisi par la ville.

Elle est la plus belle et la plus décadente des villes du monde.

Il apprend du maestro lui-même que les sculptures qu’il devait créer sont annulées.

À la place, il faire ce que personne n’a encore fait.

Il doit créer une gigantesque fresque aussi et sublime que puissante.

Le maestro décide de le choisir comme apprenti et comme modèle.

Aurélio prend part à l’une des plus grandes oeuvres d’art du monde.

Mais il voit aussi le côté sombre de la ville, des machinations aux luttes de pouvoir , à la sensualité qui l’entoure.

On suit aussi des luttes d’influence terribles avec le pape Jules II attisé par Bramante et tous les autres artistes, prêts à tout pour surpasser le maestro.

Le jeune apprenti assiste aux tourments de l’artiste qui décide de créer une oeuvre qu’il veut unique et qui restera à la postérité.

Avis du traqueur :

On assiste médusé à la création d’une oeuvre intemporelle.

Pas à pas, on assiste à la création.

Au côté de Michel-Ange, on est happé par la fièvre créatrice.

Pendant toute la lecture, on assiste à toutes les étapes.

De ces débuts laborieux, aux premières esquisses, aux premiers essais, aux premiers plâtres, aux premiers échecs.

Les hésitations, les essaies, les doutes et puis, d’un coup, les pinceaux s’envolent pour donner le sublime.

Par ce roman on est au plus prêt d’un créateur de génie et de ses tourments qui donnent encore plus de force à son oeuvre.

Devant nos yeux, on assiste la création de la fresque de la chapelle Sixtine.

À LIRE D’URGENCE !

À DÉVORER D’URGENCE COMME DES CHOUQUETTES