Le dieu fleuve de Wilbur Smith

2000 ans avant Jésus-Christ, l’Egypte ancienne est ruinée par la cupidité des hommes.

Trois personnes vont rendre à l’Egypte sa gloire d’antan.

Taita, le narrateur de ce récit fantastique, esclave et eunuque plein de sagesse et de sciences.

Lostris, sa maîtresse future reine d’Egypte intrépide et brillante.

Tanus, jeune officier de l’armée épris de Lostris.

A Thèbes, on célèbre Osiris par une chasse à l’hippopotame.

Taita voit le Roi tel qu’il est : symbole d’une gloire perdue, en guerre avec les Pies et l’autre partie du royaume.

Tous trois partagent le même rêve : que sur les berges lumineuses du Nil se lève le pouvoir du Roi des Rois.

C’est sans compter la haine du seigneur Intef, monstre de perversité et prêt à tout pour garder ses secrets.

L’invincible armée des envahisseurs Hyksos ravage l’armée égyptienne, malgré les efforts de Tanus et le courage de Lostris; l’Egypte est submergée par l’ennemi Hyksos.

Ils doivent fuir pour revenir plus fort.

C’est alors une migration de toute une partie du peuple d’Égypte qui fuit les horreurs des envahisseurs.

Derrière Reine Lostris, ils vont commencer un voyage à travers les cataractes, chargés d’hommes, de chevaux et du trésor de Pharaon qui va durer plusieurs années et qui va les emmener vers des terres inexplorées avant de rentrer chez eux.

Avis du traqueur :

Des combats spectaculaires où l’on entent le bruits des chars qui fusent sur le sol, des épées qui frappent les corps mais aussi des paysages magiques que l’auteur est capables de transcrire avec un talent hors norme.

IL FAUT LIRE CE ROMAN, LA PLANTE EN PORTE PLUS